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« Nous sommes tous des voleurs. Mais au bout du compte, nous serons seulement jugés sur deux choses : qui nous avons choisi de dévaliser et qu’en avons nous fait » -Martha Graham-

mardi 9 avril 2013

"Pire M., Il est mort de dégoût !"

      Beaucoup ont critiqué l'histoire, d'autres les acteurs, d'autres disent que ça donne une image fausse de l'Algérie etc. et je regarde encore !
Le jeu de Biyouna est excellent, touchant. La musique aussi obsédante et désespérante que leur douleur.
Le texte "Pire ! Il est mort de dégoût" encore plus efficace que n'importe quel miroir.
Moi je lui ressers un verre à Biyouna, même un double et je lui demande de jouer encore comme ça longtemps !





À temps trop perdu ...

   Ce texte n'a pas de réel sujet, il ne présente même pas qui le justifie, ces "peintres et artistes associés" ici par on ne sait quel hasard.
Il y a là ...Une peinture pleine de rêves qui ne peut exister car déjà en mille-morceaux (Vittorio Zecchin), les lignes sont dures et le geste implacable (John Brack).
Il y a aussi ...beaucoup moins de "Cent ans de solitude" mais quand même le temps qui fait des ronds et tournoie sur une musique qui s'essouffle, musique qui le guide, le désarme et le foudroie (Chavela Vargas).





Vittorio Zecchin, "Stars"
  
John Brack, The Bar (1954)